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Goldorak, Capitaine Flam, San Ku Kaï, Astroboy… Retour dans les années 70 et 80, au cours desquelles la culture japonaise commence à battre son plein en invitant à l’écran des robots devenus cultes pour des générations d’enfants. Un univers coloré, protéiforme et fascinant à découvrir à l’Espace Richaud du 23 décembre 2023 au 25 février 2024.

La génération Récré A2 et Club Dorothée (mais pas seulement) aura les yeux qui pétillent en découvrant cette exposition dédiée aux robots, héros des animations japonaises des années 1975 à 1995. Baptiste Caillaud, le collectionneur a qui l’on doit cette exposition, ne nous dira pas le contraire. Passionné de robots depuis son plus jeune âge, il inventait des scénarii les mettant en scène. Rien ne lui passe à l’âge adulte. À travers les pièces rares qu’il convoite et accumule, il ouvre le champ des possibles qu’offre l’enfance. « Il existe plusieurs types de robots, certains sont pilotés de l’extérieur, d’autres de l’intérieur ; certains ont leur propre conscience d’autres pas. Leur valeur esthétique est fascinante », confie-t-il.

Capables du pire et du meilleur, ces robots sont aussi, derrière leurs imposantes armures technologiques aux transformations multiples, des jouets, tout simplement, qui ont fait le bonheur de millions d’enfants.

Les robots contre-attaquent

Au total, 300 robots issus de la culture populaire japonaise seront exposés à l’Espace Richaud le temps des fêtes et jusqu’aux vacances de février. Tous appartiennent à Baptiste Caillaud, dont certains ont été prêtés au musée du Quai Branly pour l’exposition « Ultime combat. Arts Martiaux d’Asie » en 2021/2022. Des personnages de manga, devenus de super robots et des jouets de légende dans le monde entier. Le plus connu en France est sans conteste Goldorak, de son vrai nom « UFO Robo Grendizer », imaginé par Go Nagai en 1978, inventeur de ces robots pilotés « de l’intérieur » comme Mazinger en 1972.

Entre imaginaire et traditions

Le « super robot » se développe au carrefour de l’imaginaire enfantin, de la tradition des arts martiaux la plus ancienne et de l’ingénierie robotique moderne. Au-delà des nombreux personnages de culture populaire, du manga aux séries télévisées et aux dessins animés, il devient aussi le jouet le plus désiré et emblématique du déferlement de la culture japonaise en Europe dans les années 70 et 80. Des jouets à la descendance prolifique, toujours appréciés par les enfants d’aujourd’hui à travers, par exemple, les Power Rangers, les Gundam ou les Transformers.

Rencontre avec le collectionneur Baptiste Caillaud

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