Régime général
La pension de réversion correspond à une partie de la retraite dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé (salarié ou fonctionnaire). Elle est reversée, si certaines conditions sont remplies, à son conjoint survivant ou à son (ses) ex-conjoint(s) ou aux orphelins (si le défunt était fonctionnaire).
La pension de réversion est une partie de la retraite dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé, qui est reversée, si certaines conditions sont remplies, à son conjoint survivant ou à son (ses) ex-conjoint(s).
Le décès de l'assuré ne donne pas lieu automatiquement à l'attribution par la sécurité sociale d'une pension de réversion.
Les caisses de retraite ne sont pas tenues d'informer le conjoint survivant ou l'ex-conjoint divorcé du décès de l'assuré social et des droits qui peuvent en découler.
Le conjoint survivant a droit à 54 % de la pension (retraite de base) dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé (sans tenir compte des majorations de sa retraite : majoration pour enfants, pour conjoint etc.). Ce montant est toutefois réduit si, en l'ajoutant aux autres ressources, on dépasse le plafond de ressources.
La pension de réversion peut être partagée entre conjoint et ex-conjoints. Le partage est proportionnel à la durée de chaque mariage.
Le conjoint survivant choisit la date à laquelle il souhaite que sa pension prenne effet, sous certaines conditions.
En présence d'un conjoint survivant et d'un ou de plusieurs ex-conjoints du salarié décédé, la pension de réversion peut être partagée.
Le conjoint d'une personne décédée titulaire (ou susceptible de l'être) d'une pension d'invalidité ou de vieillesse, peut, bénéficier sous conditions d'une pension d'invalidité de veuf ou de veuve. Il peut, le cas échéant, sous conditions, bénéficier d'une pension de vieillesse de veuf ou de veuve. Il doit lui-même être atteint d'une invalidité médicalement reconnue.
Régime général
La pension de réversion correspond à une partie de la retraite dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé (salarié ou fonctionnaire). Elle est reversée, si certaines conditions sont remplies, à son conjoint survivant ou à son (ses) ex-conjoint(s) ou aux orphelins (si le défunt était fonctionnaire).
La pension de réversion est une partie de la retraite dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé, qui est reversée, si certaines conditions sont remplies, à son conjoint survivant ou à son (ses) ex-conjoint(s).
Le décès de l'assuré ne donne pas lieu automatiquement à l'attribution par la sécurité sociale d'une pension de réversion.
Les caisses de retraite ne sont pas tenues d'informer le conjoint survivant ou l'ex-conjoint divorcé du décès de l'assuré social et des droits qui peuvent en découler.
Le conjoint survivant a droit à 54 % de la pension (retraite de base) dont bénéficiait ou aurait pu bénéficier l'assuré décédé (sans tenir compte des majorations de sa retraite : majoration pour enfants, pour conjoint etc.). Ce montant est toutefois réduit si, en l'ajoutant aux autres ressources, on dépasse le plafond de ressources.
La pension de réversion peut être partagée entre conjoint et ex-conjoints. Le partage est proportionnel à la durée de chaque mariage.
Le conjoint survivant choisit la date à laquelle il souhaite que sa pension prenne effet, sous certaines conditions.
En présence d'un conjoint survivant et d'un ou de plusieurs ex-conjoints du salarié décédé, la pension de réversion peut être partagée.
Le conjoint d'une personne décédée titulaire (ou susceptible de l'être) d'une pension d'invalidité ou de vieillesse, peut, bénéficier sous conditions d'une pension d'invalidité de veuf ou de veuve. Il peut, le cas échéant, sous conditions, bénéficier d'une pension de vieillesse de veuf ou de veuve. Il doit lui-même être atteint d'une invalidité médicalement reconnue.