Versailles accueille de nombreuses espèces animales et végétales qui font l'objet de suivis (protocoles de sciences participatives, inventaires, ...) réalisés par les jardiniers, la chargée de biodiversité et des associations partenaires comme l'Association des Naturalistes des Yvelines.

Cette page vous présente quelqu’unes de ces espèces :

Les oiseaux

Le bouvreuil pivoine est un petit passereau que l’on peut observer surtout l’hiver puisqu’il vient profiter de nos mangeoires, bien que se posant rarement au sol.

Il est de la famille des Fringillidés, comme le Chardonneret élégantC’est un oiseau forestier sans préférence pour les forêts de feuillus ou de conifères.

Le mâle adulte arbore une grande calotte noire qui se poursuit par du rouge rosé qui recouvre les joues, le poitrail et le début des ailes. Ces dernières sont grises puis noires et barrées de blanc, de même pour le croupion. La femelle est plus pâle au niveau du poitrail d’un beige-rosé. Ce petit passereau fait une taille moyenne de 16 cm pour 28 cm d’envergure.

Son bec court et conique lui permet de consommer des graines, sa principale source de nourriture, bien qu’il apprécie des bourgeons et baies à la belle saison. Il peut consommer des chenilles et autres insectes à l’état juvénile.

La parade nuptiale est l’occasion pour le mâle de mettre en valeur ses belles couleurs. Une fois formé, le couple, monogame est mené par la femelle, dominante.

Le mâle a la tâche de construire le nid dans les buissons à basse hauteur, 2 m environ, où s’installera la femelle qui y pondra de 4 à 6 œufs. Elle assure la couvaison, nourrie par le mâle. Les œufs sont bleus mouchetés.

Oiseau calme et timide, le bouvreuil est un oiseau, appréciant les climats froids, qui risque de disparaître en raison du réchauffement climatique.

Petit oiseau de proie particulièrement agile, le faucon crécerelle Falco tinnunculus est un oiseau diurne commun en ville comme à la campagne.

Il est surtout reconnaissable à son vol stationnaire dit « vol du Saint-Esprit » qui lui permet d’être à l’affût de ses proies sans avoir à se poser sur un arbre ou un point en hauteur.

D’une taille comprise entre 30 et 40 cm pour une envergure de 65 à 82 cm, mâle et femelle présentent des différences d’apparence. Le mâle est un peu plus petit que la femelle. Il arbore un plumage assez contrasté ainsi qu’un casque gris. La femme présente un plumage brun moucheté de teintes plus foncées, qui la fait ressembler au juvénile. Les deux présentent du noir en bout de queue.

Son nom tient de son cri caractéristique « ki-ki-ki » pour lequel on dit qu’il « réclame ». Il est plutôt discret sauf quand un autre rapace vient à traverser son territoire ou en période de reproduction où le mâle attire la femelle. Le couple formé est monogame et rupestre. C’est la raison pour laquelle, à défaut de falaise, il ira nicher dans des vieux bâtiments. L’espèce ne construit pas de nid et la couvaison a lieu à même le support par la femelle durant une trentaine de jours. Les 2 à 6 œufs pondus sont colorés de brun-roux.

Migrateur dans d’autres régions de son aire de répartition, le faucon crécerelle est sédentaire en France, d’où la possibilité d’observer le couple présent à Versailles.

Bien que commune, l’espèce est une victime indirecte de l’usage des produits chimiques qui empoisonnent ses proies et la prive de nourriture. Parions que la gestion en zéro-phyto menée à Versailles depuis de nombreuses années, en fait donc un lieu d’accueil propice au faucon crécerelle. Le couple, nichant dans une des fenêtres de la mairie, a accueilli cette année un petit.

Passereau de la famille des Fringillidés - comme les pinsons - dont le chant n’est donc pas sans rappeler ces lointains cousins, le chardonneret élégant Carduelis carduelis est un peu plus petit que le moineau.

L’arrière de la tête est noir et l’avant arbore un masque rouge vif, séparés d’une bande blanche. Le corps est marron clair et blanc et les ailes composées de noir et de jaune.

En voilà un qui porte bien son nom tant par son aspect que son chant !

Le dimorphisme sexuel est subtil : le masque rouge du mâle lui englobe complètement les yeux, à contrario de la femelle dont les yeux sont entourés à moitié de rouge et de blanc.

Sédentaire, il est d’un naturel grégaire sauf en période de reproduction où les couples se répartissent sur le territoire. Ainsi, et malgré la possibilité que des couples s’installent à proximité, le mâle peut se montrer particulièrement agressif.

Une fois séduite par le mâle qui se livre à une véritable parade nuptiale dès la fin de l’hiver, la femelle construit le nid soigneusement composé de branchages, feuilles, mousses et lichens puis couve les 4 à 5 œufs bleus pâles mouchetés de brun, tout en étant nourrie par le mâle. Deux couvées voire trois peuvent se succéder.

A majorité granivore grâce à son bac fin et puissant, le chardonneret recherche des insectes pour nourrir ses petits.

C’est un oiseau qui apprécie particulièrement se baigner, une bonne raison de lui laisser une coupelle d’eau changée régulièrement (notamment en été pour éviter la pullulation de moustiques).

Passereau de très petite taille (l’un des plus petits d’Europe !), assez discret, le troglodyte mignon Troglodytes troglodytes est très facilement reconnaissable.

Mâle comme femelle sont identiques : d’aspect arrondi avec une courte queue souvent relevée. La couleur du plumage est brune, mouchetée de teintes plus claires sur les ailes et le poitrail. Tous deux présentent des sourcils beige clair.

Appréciant la protection offerte par la densité du feuillage, son nom tient de son lieu de nichée, toujours à proximité d’un mur, d’une paroi ou d’un tas de bois.

Insectivore toute l’année, il ne rechigne pas à consommer des baies et des graines à la belle saison. Les spécimens habitant à proximité d’un plan d’eau, comme c’est sûrement le cas de celui rencontré au parc Balbi, peuvent également enrichir leur régime alimentaire de petits poissons, grenouilles ou têtards.

Malgré un poids moyen de 8g à taille adulte, le troglodyte mâle possède un chant particulièrement puissant qui fait qu’on l’entend plus qu’on ne le voit. Ce chant lui permet notamment d’attirer les femelles lors de la période de reproduction. C’est d’ailleurs cette dernière qui fera le choix du nid parmi les 3-4 construits par le mâle. De 2 à 3 nichées verront le jour chaque année pour la femelle ; elles seront plus nombreuses pour le mâle, étant polygame.

Les chiroptères

Les chauves-souris sont des mammifères protégés parfois mal-aimés, assez souvent méconnus.

Elles ont depuis le début du printemps quitté leur gîte d’hivernage et nous font profiter de leur ballet aérien dans le crépuscule.

Coté chiffre, on estime l’identification de plus de 1400 espèces dans le monde dont 36 présentes en France métropolitaine, toutes protégées. Parmi elles, 19 espèces sont identifiées comme prioritaires car présentant un risque de disparition élevé. On considère que tout effectif confondu, les populations ont diminué de près de 38% en 10 ans (données Vigie-Chiro).

20 espèces sont présentes en Ile-de-France.

C’est la plus petite des chauves-souris d’Europe. D’un poids moyen allant de 3 à 8g, son envergure s’étend de 18 à 24 cm.

La pipistrelle est connue comme étant anthropophile : elle vit à proximité des hommes dans les villes, villages, parcs, jardins et forêts.

Les colonies, et ce toutes espèces confondues, peuvent donc occuper toutes sortes de gîtes : arboricoles (trous de pic, fentes, fissures ou autres arbres creux) comme anthropiques (nichoirs, habitations).

La mère ne porte et n’élève qu’un petit par an pour qui la première année est déterminante. Les chats font d’ailleurs partis des principaux prédateurs des jeunes sortant des gites puisqu’ils ont la capacité d’entendre les émissions ultrasonores des chauves-souris.

La pipistrelle fait partie des chauves-souris dont le vol rapide et agile leur permet de chasser à proximité des points lumineux. Pour autant, un éclairage trop vif cause un décalage dans l’heure de sortie des individus qui se solde par des difficultés à se nourrir, les pics d’activité des insectes ayant lieu aux extrémités de nuit.

Un individu peut chasser à lui seul jusqu’à 600 insectes par heure et prend le relais des oiseaux à la nuit tombée. Cette chasseuse hors-pair se nourrit principalement de moustiques et de papillons de nuit. Ne la voit-on voler à tire-d’aile au-dessus de nos têtes lors de dîner en terrasse ?

Au contraire de l’idée reçue, elle ne cause aucun dégât ni désordre en dehors du guano qui viendra immanquablement maculer le sol. C’est toutefois un excellent engrais qui peut être récupéré !

Il est à noter que la pipistrelle commune est classée comme « quasi menacée » sur la liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France*, avec un déclin net avéré de – 55% de sa population entre 2006 et 2016, pas si commune que ça finalement…

Espèce contactée en 2020 et 2021

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

Site internet de l’INPN

Site internet du plan national d’actions chiroptères

L’Oreillard gris (Plecotus austriacus) tient son nom (comme vous l’aurez douté) de ses charmantes grandes oreilles.

Il est présent sur tout le territoire national, bien qu’il reste rare en Ile-de-France ce qu’il lui vaut un statut francilien en « données insuffisantes » et « en préoccupation mineure » à l’échelle nationale.

Son envergure se situe entre 25 et 29 cm et son poids entre 6 et 14g. Sa particularité tient donc de ses oreilles qui représentent une taille non négligeable puisque si on estime que sa taille : tête (sans les oreilles) + corps est équivalente de 4.1 à 5.8 cm, ses oreilles mesurent entre 3,1 et 4,1 cm. En voilà un qui porte bien son nom !

Sédentaire, l’oreillard est aussi connu pour son habitude à cohabiter avec d’autres espèces de chauves-souris et il n’est pas rare que des colonies hibernent avec celles de grand murin, petit rhinolophe ou sérotine commune (que vous aurez l’occasion de découvrir dans le prochain volet de cette web-série).

Chauve-souris des milieux ouverts, l’oreillard gris chasse une fois la nuit bien installée et est donc très sensible à la pollution lumineuse (ce qu’on appelle une espèce lucifuge).

Une fois en chasse, l’oreillard se met en vol stationnaire face au support comme du feuillage afin d’y capturer les proies qui viendraient s’y poser. La présence de lumière, attirant ces mêmes proies, l’empêche donc de chasser.

Cependant, et c’est là une nuance intéressante, dans les zones où l’extinction totale d’éclairage est pratiquée, l’oreillard tire profit des insectes restés fixés sur les éclairages alors éteints. Son vol est dit glaneux, il est lent, semble lourd et à proximité du sol, ce qui rend l’espèce malheureusement victime du trafic routier.

Espèce contactée en 2020 

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

Site internet de l’INPN

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La sérotine commune (Eptesicus serotinus) fait partie des chauves-souris lucifuges, la lumière nocturne impacte donc sa sortie de gite et de surcroît sa période de chasse.

D’une couleur proche de la pipistrelle, elle s’en différencie par sa taille et son allure robuste puisque qu’elle présente une taille allant de 6 à 9 cm pour une envergure de 31 à 38 cm. Son poids est compris entre 18 et 35g.

Opportuniste, elle se nourrit d’insectes. Les mâles sont solitaires tandis que les femelles se regroupent en colonie de 10 à 50 individus environ pour y mettre bas et élever leurs petits.

L’espèce est fidèle à son gite et elle y reviendra tant que celui-ci sera accueillant.

Si à l’échelle nationale, les données ne démontrent pas de déclin significatif des populations de sérotine commune (bien qu’elle soit classée en « quasi menacée » sur la Liste Rouge de l’IUCN, il en est tout autre de l’Ile de France où les chiffres présentent une chute des effectifs de 57% entre la période de 2006 à 2016*.

La plus vieille sérotine commune baguée était âgée de 24 ans.

Espèce contactée en 2020 

*(référence : LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

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Crédit photo : Laurent Arthur

La Pipistrelle de Kuhl est reconnaissable par son museau arrondi. Elle est un peu plus grande que la Pipistrelle commune.

Espèce inféodée au milieu méditerranéen, elle semble remonter vers le Nord de la France (et même en altitude puisque sa présence est avérée dans le Massif Central, le Jura et les Alpes) depuis le début des années 1980.

Son aire de répartition en pleine expansion lui permet d’être classée en « préoccupation mineure » par l’IUCN.

Son espérance de vie est de 2.5 à 3 ans en moyenne bien que certains individus aient atteint 8 ans.

La pipistrelle de Kuhl préfère nicher dans les bâtiments plutôt qu’un milieu boisé.

Les femelles se réunissent en colonie de 20 à une centaine d’individus pour y mettre bas. Les femelles restent d’ailleurs fidèles à leur gite de naissance. C’est l’une des rares espèces à avoir des jumeaux assez fréquemment.

Espèce très peu étudiée car les données acoustiques ne permettaient pas, jusqu’à peu, de la différencier de la pipistrelle commune, il est à espérer que son expansion remarquable en fera un sujet d’intérêt dans les années à venir.

Espèce contactée en 2020 et 2021

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

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Crédit photo : Laurent Arthur

La Noctule commune figue parmi les grandes chauves-souris d’Europe arborant une envergure de 32 à 45 cm pour un poids de 17 à 45g.

Ses oreilles sont larges et au sommet arrondi. Elle présente également des bourrelets à la commissure des lèvres, typiques des noctules.

Espèce quasi exclusivement sylvestre, elle peut néanmoins se rencontrer dans les parcs et jardins environnants, ce qui peut expliquer sa présence au cimetière des Gonards.

Cette dépendance au milieu arboricole explique son classement en « quasi menacée » puisqu’elle est tributaire de la gestion des milieux arborés.

Son vol est extrêmement rapide (près de 50km/h) grâce à ses ailes longues et fines et elle est capable d’effectuer des piqués pour chasser lui permettant d’être très efficace mais non sélective dans ses proies.

Sa grande taille ne lui permet pas d’être à l’aise en sous-bois, on la trouve donc plutôt en chasse au-dessus de la canopée.

Sa longévité est estimée à 12 ans.

L’espèce est très sociable et les femelles, qui auront un petit par an, se rassemblent donc en colonie de 20 à 50 individus dans les gîtes d’été pour la mise-bas.

Il a été démontré que la noctule commune est une espèce migratrice qui migre vers le Sud pour hiberner d’octobre à mars. 

Espèce contactée en 2020 

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

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Crédit photo : Laurent Arthur

La Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) est une chauve-souris connue pour ses migrations spectaculaires, parcourant l’Europe sur de très grandes distances (plus de 1000 km).

C’est la plus grande des pipistrelles et aussi la moins agile : d’une taille comprise entre 4 et 5.8 cm, d’une envergure de 22 à 25 cm et d’un poids de 6 à 15.5g.

Comme la Pipistrelle de Kuhl, la pipistrelle de Nathusius peut avoir deux voire trois petits de façon exceptionnelle. Elle reste également fidèle à son lieu de naissance. C’est une espèce forestière dont le territoire de chasse se compose de milieux boisés divers et de points d’eau. C’est une espèce assez spécialisée qui se nourrit principalement de petits diptères (moustiques et moucherons).

Elle ne dédaigne toutefois pas les nichoirs pour s’y reposer bien que ses gîtes d’hibernation et de naissance soient plutôt dans des arbres creux. L’espèce est toutefois plus solitaire pour son gite d’hivernage bien qu’elle puisse former des colonies avec d’autres individus de la même espèce ou d’autres espèces de pipistrelles.

Comme les autres pipistrelles, son espérance de vie est peu élevée : 3 ans environ voire moins pour les mâles. 

Espèce contactée en 2020 et 2021

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

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Crédit photo : Laurent Arthur

Espèce classée « Quasi menacée », la Noctule de Leisler est la plus petite des noctules.

C’est une chauve-souris de taille moyenne allant de 4,8 à 7,2 cm, d’une envergure de 26,0 à 34 cm pour poids allant de 8 à 23,5 g.

Elle est inféodée aux milieux forestiers où elle trouvera ses gîtes d’hibernation et de naissance. Son occupation des bâtiments est très occasionnelle.

Grande migratrice (surtout la femelle), son aire de répartition est encore peu connue si ce n’est qu’elle préfère la douceur du Sud pour y passer l’hiver.

Elle peut accueillir un à deux petits par an. Les gîtes de mises-bas regroupent jusqu’à 150 femelles quand elles s’installent dans un bâtiment, plus habituellement 20 à 40 femelles.

Son vol est caractéristique des Noctules : rapide, agile et assorti de piqués pour attraper les insectes comme les papillons de nuit ou les coléoptères. Elle apprécie les points d’eau qui lui font d’aisées zones de chasse.

C’est une espèce étudiée pour la rareté de ses gîtes de naissance en France où elle semble donc être seulement de passage.

Espèce contactée en 2020 

Les sources  :

*LOÏS G, JULIEN J.-F & DEWULF L., 2017. Liste rouge régionale des chauves-souris d’Ile-de-France. Pantin : Natureparif (depuis Agence Régionale de la Biodiversité en Ile-de-France) 152p.)

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